Radio France optimise la gestion de ses consommables avec Kyocera
Depuis janvier 2011, Radio France s’appuie sur les services de Kyocera pour gérer son parc d’imprimantes et, notamment, pour optimiser tant sa consommation de papier que la gestion des consommables.
Radio France s’appuie depuis janvier 2011 sur les services de Kyocera pour gérer son parc d’imprimantes. Avec ce contrat, Christian Villard, responsable du centre de reprographie et du magasin de fournitures générales de Radio France, souhaitait disposer d’un technicien qui non seulement intervienne sur les pannes, mais qui assure également le remplacement des toners afin d’en améliorer la gestion et le recyclage : « le technicien reçoit des alertes dès que les toners sont à 5 % de leur capacité. » Tous les jours, dès 14h, il est en mesure de les changer. Parfois, les équipes de Christian Villard doivent intervenir le matin, à sa place, mais cela reste rare. Auparavant, les utilisateurs devaient rapporter leurs anciennes cartouches. Mais beaucoup finissaient en réalité dans les poubelles, sans être recyclées. En outre, changer une cartouche de toner n’est pas la spécialité des utilisateurs finaux et cela se soldait, parfois, par la casse de petites pièces sur les machines.
La gestion globale du parc d’imprimantes a également progressé : « on identifie facilement les copieurs qui impriment beaucoup et l’on peut opérer des rotations avec ceux qui impriment moins afin d’optimiser le cycle de vie du parc », explique Christian Villard. Et d’indiquer privilégier en outre les équipements multifonctions par rapport aux imprimantes seules, en configurant par défaut l’impression recto-verso, et en noir et blanc sur les équipements couleurs, afin de générer des économies de papier et de toners.
Au total, Christian Villard a fait confiance à Kyocera pour quelque 220 machines à Paris et 110 en province. Avec le temps, 50 sites de province se sont rattachés à l’accord cadre de Radio France avec Kyocera et 85 % du parc est aujourd’hui signé Kyocera : « on essaie d’homogénéiser l’ensemble pour limiter le nombre de pilotes d’impression sur le réseau. » Permettant aux équipes locales de profiter de tarifs particulièrement attractifs, le contrat cadre remporte une vive adhésion : « si cela se passait mal, j’aurais des retours de la part de nos structures en province. Et là, depuis 2011, je n’ai aucun retour. Je suis donc assez satisfait. »
Le contrat cadre signé avec Kyocera court jusqu’au 31 décembre 2015. Il couvre les imprimantes ainsi que le toner : « tout ce que l’on paie en plus du loyer, c’est le coût d’impression », indique Christian Villard. Et d’assurer disposer aujourd’hui d’une « qualité de service que l’on n’a jamais eue avant. Certes, cela vient des équipes de Kyocera, très disponibles, mais aussi de leurs équipements. Même sur des matériels très fortement sollicités, nous ne rencontrons pas d’incidents au-delà de l’usure normale. Ce sont des équipements qui fonctionnent très bien. »