Météo France choisit Bull pour viser les 5 petaflops en 2016
Météo France prépare une nouvelle génération de moyens de calcul et a choisi Bull pour l’accompagner côté super calculateur en pariant sur les Bullx B700 DLC. Objectif : atteindre une puissance crête totale de plus de 5 Petaflops à l’horizon 2016. Ils seront installés à Toulouse, sur le site de Météo-France, à partir du premier trimestre 2013, puis à l’automne à l’Espace Clément Ader, projet fédérateur regroupant l'Institut Clément Ader (ICA), le CRITT Mécanique & Composites, la plateforme de micro-caractérisation des matériaux ainsi que la plate-forme de calcul intensif - qui hébergera notamment les supercalculateurs de Météo-France et du Pôle Recherche et Enseignement Supérieur "Université de Toulouse".
Météo France prépare une nouvelle génération de moyens de calcul et a choisi Bull pour l’accompagner côté super calculateur en pariant sur les Bullx B700 DLC. Objectif : atteindre une puissance crête totale de plus de 5 Petaflops à l’horizon 2016. Ils seront installés à Toulouse, sur le site de Météo-France, à partir du premier trimestre 2013, puis à l’automne à l’Espace Clément Ader, projet fédérateur regroupant l'Institut Clément Ader (ICA), le CRITT Mécanique & Composites, la plateforme de micro-caractérisation des matériaux ainsi que la plate-forme de calcul intensif - qui hébergera notamment les supercalculateurs de Météo-France et du Pôle Recherche et Enseignement Supérieur "Université de Toulouse". Dotés d’un système de refroidissement innovant ultra performant et des processeurs Intel Xeon de dernière génération, les supercalculateurs Bullx livreront lors une première étape (2013-2014) une puissance de calcul d’environ 1 petaflop, soit un million de milliards d’opérations par seconde. Puis, à l’horizon 2016, la performance totale dépassera 5 petaflops.
Pour Météo France, cette augmentation des moyens de calcul se traduira par le passage de la technologie vectorielle à la technologie scalaire qui repose sur les standards du marché et permet de fournir une puissance de calcul parallèle nettement supérieure pour un moindre coût total de possession.
Le choix de Météo-France souligne le savoir-faire développé par Bull en matière de parallélisation des codes applicatifs utilisés dans les domaines de la météorologie et des sciences du climat. Une plus grande parallélisation est essentielle pour l’utilisation optimale des machines. Elle entraîne une évolution indispensable des codes de calcul et représente en elle-même un grand challenge, auquel sont confrontés tous les instituts météorologiques dans le monde.
Météo-France a souhaité contenir les consommations en électricité et systèmes de refroidissement de ses supercalculateurs, tout en multipliant par un facteur de près de 50 la puissance de calcul utile disponible. La consommation électrique des data centers - plusieurs megawatts pour les plus grands - est devenue en effet le principal facteur limitant la puissance de calcul.
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