Petit guide du « Low-code/No-code » pour bien débuter ses projets

Introduction

Le low-code est une pratique qui ouvre de nombreuses opportunités de développement.

La première est de construire des applications plus rapidement – que ce soit au sein du département IT, en appui des développeurs professionnels, ou en dehors, par les métiers eux-mêmes (qui seront tentés par une sous-catégorie du low-code : le « no-code », littéralement le « pas de code du tout »).

Les plateformes low-code proposent typiquement un ensemble de modèles, de templates et de fonctions – sous forme de composants à glisser-déposer – pour les utilisateurs « non techniques » (les « citizen developers »).

Mais les outils low-code font également gagner du temps aux vrais professionnels du code, en leur « mâchant le travail » sur les parties les plus basiques d’une application, pour leur permettre de se concentrer sur les parties les plus créatives ou les plus difficiles d’une application.

Bref, le low-code/no code trouve peu à peu ses publics. La technologie est mature. Les questions qui se posent aujourd’hui sont de savoir quel outil choisir, dans quel cadre, et pour qui.

Avec ce guide, vous plongerez dans les perspectives qu’offrent ces outils, les bonnes pratiques à adopter pour leur mise en œuvre et des conseils d’experts développeurs pour en éviter les travers sur le long terme (qualité, sécurité, etc.).

1Bonnes pratiques-

Les défis du low-code

2Choisir-

Bien sélectionner son outil low-code