Les clés du Backup et de la reprise après sinistre pour les environnements virtualisés

Introduction

Le backup à l’ancienne, avec ses longues fenêtres de sauvegarde, sa faible périodicité, vit ses dernières années. La plupart des entreprises doivent aujourd’hui assurer un fonctionnement en continu de leur IT et leur tolérance aux interruptions de production ne cesse de décroître. À l’heure de la virtualisation généralisée, du cloud et des applications mobiles, nul ne peut aujourd’hui se permettre une indisponibilité longue de ses applications.

Pour répondre aux contraintes de disponibilité du moment et protéger les entreprises des menaces modernes comme les rançongiciels, les logiciels de backup s’enrichissent progressivement d’un arsenal de technologies conçues pour ramener au minimum le RPO (Recovery Point Objective : pour faire court, le temps écoulé entre la panne et la dernière sauvegarde récupérable) et le RTO (Recovery Time Objective, le temps nécessaire pour redémarrer la production à partir de la dernière copie cohérente).

Parmi elles, les technologies de réplication en continu (ou CDP), l’intégration avec les API de snapshots des baies de stockage, l’instant recovery (capacité à redémarrer une VM directement depuis le stockage de protection), l’aptitude à redémarrer des VM dans le cloud, etc. Autant de fonctions qui brouillent les frontières historiques entre sauvegarde, reprise après sinistre et continuité d’activité.

Ce guide essentiel vous propose de faire le point sur ces évolutions et sur les contraintes qu’elles font peser sur les équipes informatiques.

1État des lieux-

Un marché en pleine transformation

2Conseils-

Mettre en place une stratégie de protection