La CNIL s'oppose aux portes dérobées
Pour la présidente de la CNIL, "mettre des backdoors conduirait dans le fond à offrir a priori une sorte de laissez-passer aux autorités publiques à tous les systèmes informatiques. Mais on sait bien que ce genre de laissez-passer peut être utilisé à d'autres fins, y compris par d'autres. Par conséquent, ce serait une fragilisation de la sécurité informatique en général. Le préjudice serait certainement plus important que le bénéfice immédiat sur un cas en particulier."