Jeux Olympiques : Atos a-t-il suffisamment protégé ses systèmes ?
Des postes utilisés par des collaborateurs d'Atos semblent compter parmi ceux qui ont été pris au piège par les attaquants qui ont cherché à perturber le déroulement de la cérémonie d'ouverture des JO de Pyeongchang. Certains ne manquent pas de souligner l’ironie de la situation pour celui qui annonçait fièrement, en juillet dernier, « le premier Security Operations Center prescriptif », capable de « contrecarrer les cyberattaques avant même qu’elles ne se produisent » grâce à un « temps de détection et de réponse inédit ».