Biomemory relance le stockage sur ADN via des cellules vivantes
Grâce aux Français de Biomemory, les data centers pourraient être équipés dès 2030 d’une appliance BioDrive capable de stocker les données sur de l’ADN. L’intérêt ? La densité, d’abord : l’intégralité des documents produits dans le monde en 2019, soit 45 zettaoctets (45 Zo, ou 47,2 millions de Po) pourrait tenir dans 100 grammes de poudre. La longévité ensuite : a priori l’ADN ne se dégrade pas avant des milliers d’années.
> Lire l'article de Yann Serra