Hurd bashing, le best-of / Vie privée des jeunes : Google inquiet …

Le salaire de Hurd et de ses proches passé à la moulinette (Blog HP Phenomenon) Quand Chuck House, un ancien de HP devenu directeur de recherche à Stanford, tient un os, il ne le lâche pas.

Le salaire de Hurd et de ses proches passé à la moulinette (Blog HP Phenomenon)

Quand Chuck House, un ancien de HP devenu directeur de recherche à Stanford, tient un os, il ne le lâche pas. Cet os, ce sont les confortables émoluments que s'accordaient Mark Hurd et ses adjoints, déjà au centre de ses critiques dans de précédents billets. Chuck House se livre cette fois à un comparatif dévastateur avec l'époque Fiorina... alors que Carly elle-même n'était pas connue pour gagner chichement sa vie. En 2009, année noire pour l'IT, Mark Hurd a été payé... 1 400 % de plus que Carly Fiorina en 2001, autre année de crise.

R&D HP : Hurd le cost-cutter (BusinessInsider)

Dans la série un graphique vaut toujours mieux qu'un long discours, cette infographie proposée par BusinessInsider se passe de légende. Elle retrace l'évolution de la part consacrée à la R&D dans le chiffre d'affaires de HP sous Mark Hurd... Une plongée vertigineuse.

Que le spectacle continue (New York Times)

A la façon d'un magazine people, le New York Times revient sur la romance de Mark et Jodie (prénom de cette ex-actrice devenue consultante de HP et qui accusait l'ex-Pdg de harcèlement sexuel). Selon le quotidien, qui révèle quelques détails croustillants, c'est le règlement amiable de la plainte par Mark Hurd (qui a versé une somme inconnue à Jodie Fisher pour éviter un procès) qui a été la goutte d'eau faisant déborder le vase pour le conseil d'administration du premier groupe mondial d'informatique.

Respect de la vie privée : Google s'inquiète pour les jeunes (Wall Street Journal)

Souvent vu comme le Big Brother du Web, Google cherche-t-il à se refaire une virginité (à bon compte) ? Après s'être offusqué de l'attaque dont il est victime pour violation de brevets par Oracle (voir notre article sur les réactions suite à la plainte de la firme de Larry Ellison), le géant du Web s'inquiète maintenant des risques que présentent les réseaux sociaux. Et Eric Schmidt, le Pdg, de prédire que chaque jeune devra un jour changer de nom pour tirer un trait sur sa vie (numérique) passée, soigneusement dépeinte par les réseaux sociaux. Ce long article brosse, par ailleurs, les défis que doit affronter cette compagnie installée qu'est devenu Google.

Rachats par Oracle : à qui le tour ? (Blog Software Advice)

Spécialisée dans le conseil en achats de logiciels, Software Advice recense, sur son blog, la liste des futures cibles possibles de l'ogre Oracle (dont le dernier coup d'éclat a été de mettre la main sur Sun). On y trouve des pistes attendues (Teradata, Informatica, Tibco, Salesforce), d'autres plus surprenantes (CA) et certaines susceptibles - de nouveau - de bousculer le marché (EMC, VMware, RIM, Juniper). Software Advice fournit également un graphique recensant et classant les acquisitions passées de l'éditeur.

France.fr : trop cher ou vraiment trop cher ? (Les Echos)

4 millions d'euros selon le Canard Enchaîné, moins selon le gouvernement. Les Echos font le point sur le coût du site France.fr, rouvert cette semaine après son lancement raté de la mi-juillet. Que le montant de la facture soit plus proche du chiffre lâché par l'hebdomadaire satirique ou du total avancé par le gouvernement (1 million dépensé à ce jour), la rédaction du MagIT reste sans voix devant le décalage manifeste entre la facture et le rendu actuel du site de promotion de la France.

Wikileaks passe sous la bannière du parti des pirates (Information Week)

Spécialisé dans la fuite de documents officiels, et cible du Pentagone pour ses révélations sur la guerre en Afghanistan, le site Wikileaks hisse le drapeau noir, en concluant un accord avec le Pirate Party suédois. Ce parti politique, connu pour ses prises de position contre le durcissement des lois sur le piratage, a accepté d'héberger gratuitement plusieurs serveurs de Wikileaks. Le Pirate Party sert déjà de refuge au système d'échange de fichiers The Pirate Bay.

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