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Guide de l’apprenti consultant (Infoworld) Le salut, en ces temps de crise, est-il dans la montée en compétences ? Le passage du statut de simple technicien à celui de consultant ? Peut-être.

Guide de l’apprenti consultant (Infoworld)

Le salut, en ces temps de crise, est-il dans la montée en compétences ? Le passage du statut de simple technicien à celui de consultant ? Peut-être. En tout cas, Inforworld établit là un petit mémento de l’apprenti consultant avec, ce qu’il faut faire, ne pas faire, et les désastres à éviter.

L’ère des méga-centres de calcul (BusinessWeek)

Nous sommes en train d’entrer dans l’ère des méga – voire giga, tera ? – centres de calcul, des monstres de puissance et, accessoirement, des ogres énergétiques. De son côté, Intel estime qu’un quart de ses puces iront aux centres de calcul en 2012 ! Et l’auteur d’oser la comparaison entre exploitants de centres de calcul et loueurs d’automobiles : à l’heure du choix, c’est ce qui coûte le moins à exploiter qui l’emporte.

Non, le Cloud n’est pas bon pour toutes les entreprises (Internet News)

Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer – ou croire à force d’en écouter les chantres –, le Cloud Computing n’est pas une panacée universelle. Selon IDC, plus l’entreprise est grande et son SI efficace, moins les bénéfices du SaaS et du Cloud Computing sont importants.

Applications d’entreprise : utiles mais aussi sympas (Software Insider)

Pour Ray Wang, de nombreux éditeurs de PGI ont fait de réels progrès en matière de facilité d'usage de leurs logiciels. Après avoir passé en revue les interfaces graphiques des outils d’IFS, Lawson et Microsoft Dynamics, Ray Wang se penche sur celle d’Epicor 9, une interface enrichie à la sauce Microsoft, justement, avec force rubans et panneaux de navigation façon Outlook.

Facebook : affolant ! (Ecrans.fr)

Pour Alex Türk, président de la CNIL, le récent épisode relatif aux conditions d’utilisation de Facebook est tout bonnement affolant. Et de se dire « extrêmement inquiet ». Et à double titre, si l’on le comprend bien : en raison de l’impuissance en la matière d’un régulateur français des libertés individuelles, d’une part, et de l’inconscience des usagers de Facebook, de l’autre.

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