Herisson, pas Echelon / Google à l'école / Quantum, mon amour …

Herisson n'est pas echelon (Libération)

Puisque la DGA le dit à Libération, c'est sans doute vrai, n'est-ce pas ? Le système d'analyse de contenus Herisson, développé par EADS pour la DGA,  n'est pas un système d'écoute généralisé comme l'américano-australo- britannique Echelon. Ce ne serait qu'un innocent prototype chargé de traiter des jeux de données partiels provenant de l'internet public (forum, sites web, newsletter, fils RSS, IRC, sites de réseaux sociaux...), avant bien sûr de passer àl'ère industrielle. Le problème est qu'à l'heure où la frontière entre vie privée et vie publique s'estompe, le système de renseignement en question, s'il est légitime pour la sécurité d'un Etat, pourrait aussi être utilisé de façon très détournée de ses objectif affichés.

Allez cherche avec Google petit n'enfant (Le Monde)

Le délicat équilibre entre enseignement public et utilisation d'un service privé devient difficile à maintenir lorsqu'un acteur dispose de près de 90% d'un marché. Ce fut le cas autrefois avec Windows, ça l'est aujourd'hui avec Google lorsqu'il faut faire des recherches sur le Net. Et ça se complique encore lorsque l'on mélange les genres. Le Monde en révèle un étonnant exemple.

Quantum, mon amour... (BBC)

Selon nos confrères de la BBC, des chercheurs de l'université d'Edinburgh et de Manchester ont créé une mécanisme à l'échelle moléculaire qui pourrait simplifier la fabrication d'ordinateurs quantiques. Les recherches sont publiées dans la dernière édition de Nature.

Retour des contrats géants d'outsourcing (BusinessWeek)

Selon BusinessWeek, l'ère des grands contrats d'outsourcing n'est pas terminée. Après plusieurs années de calme, plusieurs grands contrats ont été récemment conclus notamment entre l'américain Kaiser Permanente et IBM et entre Reader's Digest et HCL.

Programmez parallèle (Infoworld)

A processeurs multicoeur, logiciels parallèles. La proposition peut paraître évidente, mais elle se heurte aux limites du cerveau humain et notamment à l'inaptitude de la plupart des développeurs à paralléliser leur code pour les nouvelles puces d'Intel, AMD ou Sun. Pour Infoworld, il s'agit d'un des challenges de l'informatique pour les années à venir.