Microsoft ne craint pas le nuage / SAP et le foot allemand / Panne chez Amazon …

Grand bleu sous le nuage (Computerworld)
Notre confrère publie l'interview de Rob Kelly, vice-président du marketing de la division infrastructure et serveur de Microsoft, dans lequel on apprend que l'éditeur ne craint pas le Cloud. Bien au contraire, il sera même un acteur prépondérant sur le marché. Comme il a pu l'être dans le domaine du logiciel standalone. Réponsé à la PDC en Octobre.


SAP mouille le maillot (Le Monde)
Le monde nous compte l'histoire d'un petit club de football allemand régional (TSG Hoffenheim 1899) qui vient de rentrer dans la cour des grands en se classant 2e du puissant championnat allemand. Une gloire sportive qui repose sur son premier supporter : le richissime Dietmar Hopp qui doit sa fortune – l'article le dit milliardaire – à SAP le n°1 mondial du PGI. Pour fêter ça, le village aura bientôt son stade... de 30 000 places, que Dietmar Hopp a également financé.


Orage dans le nuage d'Amazon (TechWorld)
Alors qu'Amazon, l'un des principaux fournisseurs d'infrastructure en nuage, s'allie à Oracle pour se donner des ailes dans le monde des entreprises, l'un de ses services (Simple Queue Service) hoquète, tombe en rade et soulève la douloureuse question de la continuité de services, nécessaire au monde pro. Cela soulève également le problème du contrôle de la qualité des services du Cloud. Le nuage devra aussi disposer de ses grilles de qualification, comme il est de coutume dans les logiciels, terre à terre.


L'Open Source, le carburant de la fléxibilité (News.com)
Les CIOs devrait s'inspirer de l'expérience de Honda. Le constructeur d'automobile et de moto, en dépit de la crise pétrolière, maintient le cap grâce à la flexibilité de ses chaînes de production. Ce que finalement l'Open Source permet de réaliser, nous apprend Matt Asay, qui anime le blog Open Road sur news.com

La crise financière aurait-elle pu être éviter avec la technologie? (Intelligent Enterprise)
C'est la question que se pose Doug Henschen sur le blog Intelligent Enterprise. Sa réponse : les technologies d'évaluation des risques sont bien en place, et performantes. Du moins dans les banques. Le problème vient juste de l'interprétation humaine des signaux de détresse que livrent ces technologies. Ou des contournements qu'on en fait.


Cisco, la Madonna des réseaux (New York Times)
Comment le géant des réseaux Cisco se ré-invente et parvient à s'imposer face à des géants, comme IBM et Microsoft, nous conte le New York Times. Alors que le constructeur déverse sur le maché des solution de téléprésence et une version hébergé de la plateforme de WebEx. Histoire de dire la les communications unifiées, c'est aussi l'affaire d'un spécialiste des réseaux.