Web 2.0 confisqué / Datacenter en Lego / GreenIT facile …
Les dépenses dans le Web 2.0 seront trustées par les gros éditeurs (CIO) En 2013, les entreprises d'Asie, d'Europe et d'Amérique du Nord auront dépensé 4,6 Md$ dans les technologies et services assimilés au Web 2.0, prédit Forrester.
Les dépenses dans le Web 2.0 seront trustées par les gros éditeurs (CIO)
En 2013, les entreprises d'Asie, d'Europe et d'Amérique du Nord auront dépensé 4,6 Md$ dans les technologies et services assimilés au Web 2.0, prédit Forrester. Blogs, wiki, RSS, podcast, mashup, réseaux sociaux et autres joyeusetés participatives en ligne trusteront une partie ans cesse croissante des dépenses chez les professionnels. Et à un train d'enfer : Forrester estime à 43% le rythme de croissance annuel d'ici là. C'est dire l'engouement autour de ces outils extérieurs au coeur du SI, ou loin de l'optimisation des processus métier.
D'ici 2013, les technologies du Web 2.0, aujourd'hui principalement poussées par des start-up, seront aux mains des gros éditeurs, les mêmes qu'aujourd'hui d'ailleurs, qui proposeront d'autres fonctionnalités plus stratégiques pour le SI. Et de citer Microsoft et IBM. Dans ce contexte, rien d'étonnant alors d'apprendre que Sharepoint (ou tout autre plate-forme possédant un outil de wiki ou de blog) prendra une longueur d'avance.
L'apologie du datacenter – Lego (Computerworld)
Deux journalistes de Computerworld vantent les mérites du centre de calculs modulaire. Ou comment cette approche, qui consiste à pré-configurer des blocs de datacenters et à les agglomérer sur site, va révolutionner l'informatique, comme l'a fait le container dans le commerce maritime ou le transport de marchandises.
Une infrastructure Lego répondant à des besoins en dents de scie avec des ressources humaines limitées : le tableau peint par Computerworld illustre un modèle que de plus en plus de constructeurs envisagent. Tout comme les éditeurs, qui pourront alors bénéficier de cette formidable puissance à la carte pour accompagner les développements du « Cloud Computing ». Mais restons sur Terre : ils sont GreenIt ces containers ?
Lapalissade et GreenIT (Computerworld)
Comment accélérer le retour sur investissement (ROI) quand on investit dans le GreenIT ? Réponse : en utilisant les ressources et technologies les plus évidentes. Virtualisation et consolidation, de-duplication, recours aux outils de mesures, ajout d'unités de refroidissement supplémentaires... Tout en gardant un oeil aux rabais et opportunités chez les fournisseurs. Et comme l'indique un analyste du Gartner dans l'article : « Il y a tellement de gaspillage dans la plupart des datacenters qu'il n'est pas si difficile de trouver des cas d'école où on peut rendre les projets plus verts, tout en réduisant les coûts ». Et d'insister sur le fait que la vague GreenIT n'en est qu'à ses débuts.
Marten Mickos s'explique, mais ne dit pas tout (Eweek)
Marten Mickos confirme que le code de MySQL restera bien sous une licence GPL. «Tout ce qui a déjà été publié sous GPL restera sous GPL, et le coeur du serveur de MySQL continuera d'être régi par la GPL ». Et il a raison, mais personne n'en doutait. La vraie question est : quelle licence viendra encadrer les nouveaux composants qui seront réservés aux utilisateurs payants de la base de données?
Rififi à l'OLPC : 3e départ (PCWorld)
Après la CTO Mary Lou Jepsen, partie vendre les fruits de ses propres travaux pour l'organisation à l'extérieur, et Ivan Krsti, chef de la sécurité en désaccord avec la stratégie globale du projet, c'est au tour de Walter Bender de quitter le navire OLPC, le projet de portables à bas coûts pour les pays en développement. Il avait la très emblématique responsabilité de l'OS et de son contenu, avant d'être reclassé directeur du déploiement. Autant dire tout de suite qu'il a eu la lourde tâche de faire accepter un système en Open Source - le l'XO -, alors que XP et ses supporters frappaient très fort à la porte.
Ruby on Rails trop lent (The Register Developer)
Mais pourquoi Ruby on Rails est-il si lent ? Une question que se pose Tim Bray, l'un des pères du XML lors de la conférence Silicon Valley Conference. Devant un parterre de développeurs, l'expert reste perplexe. Ruby a actuellement le vent en poupe et figure parmi les langages préférés des développeurs Web, aux côté de PHP ou Java. Principalement pour la robustesse, la fiabilité et la rapidité de son framework Ruby On Rails. Mais, des problèmes de performances subsistent.