Le coût du bug OpenSSL / Total passe à Vista …

Debian : la lourde facture du bug OpenSSL (The Register)

Si Debian a bien corrigé le défaut dans le générateur de nombres aléatoires de la librairie de cryptographie de son OS, le plus gros du travail commence désormais pour les administrateurs. Il va en effet leur falloir inventorier l'ensemble des certificats générés avec des clés « faibles » et les regénérer. Un processus qui pourrait demander du temps et au final coûter très cher...

65000 PC sous Vista chez Total (CIO-Online)

Total vient d'achever le premier gros déploiement de Windows Vista en France. Selon notre confrère CIO-Online, le groupe pétrolier français, assisté par Sogeti, a migré près de 65 000 postes de travail sous Vista, des postes desservis par une armada de 4000 serveurs en technologies Microsoft. Il s'agirait du plus gros projet de déploiement de Vista en Europe.

Brevets : Linux reste étanche aux menaces de Microsoft (Computerworld)

Un an après ce que Computerworld appelle le PatentGate, Microsoft n'a toujours pas réussi à faire la preuve que Linux viole sa propriété intellectuelle (en l'occurrence 235 brevets selon le géant du logiciel). Certes Microsoft a signé plusieurs accords de licence avec des éditeurs linux comme Novell, Turbolinux ou Xandros, mais aucun d'entre eux n'a admis avoir signé ces accords pour des raisons juridiques. Tous  mettent plutôt en avant des raisons d'interopérabilité. Finalement, Red Hat est pour l'instant le seul a assumer ses positions jusqu'au bout. A juste titre selon certains. Microsoft aurait en effet tout à perdre d'une bataille devant les tribunaux. Sans parler du risque pour l'éditeur de perdre un tel procès,  ses clients sont aussi pour la plupart des utilisateurs de Red Hat, et risqueraient de ne pas voir du meilleur oeil une bataille de brevets entre les deux éditeurs...

Croissance du marché IT : tout va bien (ITJungle)

Revenant sur les dernières prédictions d'IDC en matière de croissance du marché des technologies de l'information, notre confrère indique que la situation ne semble pas aussi grave que ce que certains veulent bien le dire. L'Europe de l'Est et les pays émergents, notamment, affichent des taux de croissance insolents qui permettent de compenser la morosité du marché américain.