L’exemple GreenIT / Un seul être vous manque… / La vraie fracture numérique …

Le green IT par le geste (CIO.com)
Etude de cas ou comment la DSI de Washington Mutual a dégagé des économies substantielles tout en baissant la facture électrique et en sauvant des arbres… Par ces efforts continus, la banque de détail basée à Seattle a réduit l’émission de gaz à effet de serre lié à l’exploitation de son parc PC de 60 % et, plus récemment, baissé la consommation de papier de 15%.

Microsoft et l'après Bill Gates ? (News.com)
Dans un mois, l’ère de Bill Gates à la tête de Microsoft – qu’il a créé il y a une trentaine d’années – ne sera plus. Le concepteur de Windows a choisi de longue date de consacrer 100% de son temps à la fondation qu’il a bâti avec Melinda, son épouse. Et dans le secteur les bruits vont bon train sur la seule question qui vaille : le géant Microsoft saura-t-il se remettre du départ de son père fondateur ?

Science : la vraie fracture numérique est dans la tête (naturavox.com)
La numérisation, qui permet apparemment des gains substantiels de temps et d’énergie, mobilise de plus en plus la partie du cerveau servant à donner du sens. Du coup l’auteur de l’article s’interroge : l'économie apparente découlant de la numérisation en est-elle réellement une, vu la saturation de la mémoire de l’homme qui en découle ?

Les développeurs sur RAD sont des développeurs heureux (computerworld.com)
En dépit d’une concurrence accrue, Rational Application Developer, propriété d’IBM, demeure l’environnement de développement logiciel (IDE) le plus satisfaisant pour les développeurs selon une étude réalisée par Evans Data. Ces utilisateurs sont bien plus heureux que ceux des autres environnements. Au delà de l’outil, le support proposé par Big Blue est également plébiscité par les adeptes de RAD.

Sun : courageux mais risqué (siliconvalley.com)
Retour de Silicon Valley, qui connaît bien la maison californienne, sur la stratégie et les multiples transformations de Sun Microsystems, passé des stations de travail aux serveurs et aujourd’hui très concentré sur l’implication de son activité logicielle dans le monde Open Source.
Reste que le mouvement est jugé tardif et que la société – dont l’économie continue de reposer sur de « vieilles » technologies de serveurs et de stockage – demeure fragile.