Windows 7 en OEM, un bienfait pour Microsoft / Reloaded : mort du mainframe …
Microsoft préfère Windows 7 dans les PC (Cringely) Si Windows 7 est si cher et surtout beaucoup plus cher de Snow Leopard, l'OS d'Apple, c'est tout simplement parce que Microsoft préfère vendre des PC que des mises à jour, affirme Robert X. Cringely sur son blog.
Microsoft préfère Windows 7 dans les PC (Cringely)
Si Windows 7 est si cher et surtout beaucoup plus cher de Snow Leopard, l'OS d'Apple, c'est tout simplement parce que Microsoft préfère vendre des PC que des mises à jour, affirme Robert X. Cringely sur son blog. La raison : cela lui coute moins cher en support.
Le mainframe une nouvelle fois annoncé pour mort (PCWorld)
Retour d’un serpent de mer du secteur : le mainframe va-t-il disparaître ? L’une des rumeurs préférées des DSI pourrait cette fois s’avérer exacte si l’on en croit une étude de l’Afcom (association regroupant des hébergeurs) relayée par PCWorld. Reste que le phoenix renait toujours de ses cendres et que les gammes mainframe d’IBM – le roi du segment – se portent plutôt bien. Cette fois le danger viendrait des grappes de serveurs Unix virtualisés…
L’avenir du PC… est dans le smartphone (Gartner)
Même Windows 7 ne semble pas conforter la croyance des constructeurs de PC dans le PC. Et Gartner croit savoir que leur avenir n’est pas dans le netbook – comme la flambée des ventes de ces mini ordinateur portables low cost le laisse penser – mais, sur du long terme, plutôt dans le smartphone. Ce ne sera pas la première fois qu’Apple ouvre la voie.
Y a-t-il un pilote dans l'avion? (CNN)
Dans un avion, même les pilotes peuvent être absorbés… par leurs laptops. C'est ce que nous raconte CNN dans cet article. Les pilotes américains d'un Airbus ont tout simplement dépassé leur destination finale de 150 miles, distraits par quelque amusements issus de leur ordinateur portable qu'ils avaient ouvert dans le cockpit.
La bataille des clones (Wall Street Journal)
Le Wall Street Journal explique comment Carl Icahn aurait écrit une lettre à Carol Bartz dans laquelle il explique tout le bien qu'il pense d'elle. Et raconte qu'elle constitue le CEO idéal pour nombre d'entreprises des Etats-Unis. A tel point qu'il aimerait qu'elle puisse se cloner.