IT pourfendeur d’emplois / Economies / Le point de non retour de l’externalisation …
L’IT, l’un des pire maux de l’emploi (ComputerWorld) C’est à un exercice inhabituel que se prêtent nos confrères.
L’IT, l’un des pire maux de l’emploi (ComputerWorld)
C’est à un exercice inhabituel que se prêtent nos confrères. Ils pointent le rôle de l’IT comme l’un des principaux responsables des destructions d’emploi de ce (jeune) siècle. De quoi conduire à une question – qui n’est pas posée par les auteurs : la création de richesses ne peut-elle se faire qu’au détriment des salariés ? Bref, la traditionnelle opposition entre travail et capital.
Les nouveaux gisements d’économie des DSI (Forbes)
Réduire les coûts. C’est l’un des principaux objectifs du moment pour les DSI. Kia Behnia, directeur technique de BMC fait le tour des possibilités. Ou comment en faire plus sans renforcer ses effectifs ni son budget. Avec une cible en ligne de mire : des infrastructures dont la part, dans le budget SI des entreprises, n’a pas cessé d’augmenter.
Quand l’externalisation voit trop loin (Forbes)
Quand s’arrêter ? A partir de quel seuil continuer d’externaliser revient-il, pour l’entreprise, à ce tirer une balle de le pied avec la bénédiction du directeur financier ? C’est la question que pose l’éditorialiste Ed Sperling, pointant notamment les risques de pertes de compétences clé au sein des entreprises, et en particulier dans leurs DSI. Mais au-delà ?
Windows 7 peut bien attendre (Infoworld)
A rebours d’un Gartner qui encourage les entreprises à s’engager sans attendre sur la voie de la migration des postes de travail vers Windows 7, le président de Rescuecom, un prestataire de services de support, les invitent à attendre. Au moins le Service Pack 1 du nouvel OS client de Microsoft. Une vieille antienne ?
Le SaaS, grand vainqueur de la migration de Los Angeles sur les Google Apps (InformationWeek)
Tant pis si Novell ne s’en remet pas. Les regards méritent d’être tournés dans une autre direction : celle du SaaS, dans son ensemble. Non seulement c’est lui, à travers le choix des Google Apps par la ville de Los Angeles qui est préféré aux outils traditionnels couplant serveurs internes et clients lourds, mais, et surtout, cette décision indique pour nos confrères que le grand soir du SaaS est arrivé.