SOA blabla / My IT Project is rich / Schmidt pas comme Microsoft …
SOA : moins de blabla, plus de concret (SOA Zone) Alex Neihaus réagit à la publication du Manifeste SOA et rappelle qu'il est grand temps de cesser de parlementer autour des architectures de services pour rentrer dans le vif du sujet.
SOA : moins de blabla, plus de concret (SOA Zone)
Alex Neihaus réagit à la publication du Manifeste SOA et rappelle qu'il est grand temps de cesser de parlementer autour des architectures de services pour rentrer dans le vif du sujet. En clair, le segment, pour progresser, a besoin de produits et solutions accessibles par les développeurs. Et d'expliquer qu'il faut extraire la SOA de la nébuleuse dans laquelle elle se trouve et développer des plates-formes que le commun des mortels puisse exploiter.
Projet IT chez la Queen : Anatomie d'un désastre (Computer Weekly)
Nos confrères britanniques s'interrogent sur les 25 années d'échecs de projets IT dans l'administration anglaise. 25 ans pendant lesquels le Public Accounts Commitee a mené une croisade contre les budgets explosés, les planning jamais tenus, les décisions injustifées, les choix incertains et la naiveté permanentes des décideurs. En ligne de mire le projet de réforme du système de gestion des prisons (le C-Nomis) : 513 millions de livres sterling jetés par la fenêtre.
Schmidt : pas d'erreurs à la Redmond (TechFlash)
Le site de Seattle relaie l'intervention d'Eric Schmidt, Pdg de Google, sur Fox Business où il explique : « heureusement nous ne reproduirons pas les mêmes erreurs que Microsoft », notamment en matière d'anti-trust.
Le nuage débattu (Network World)
Le Cloud Computing a beau être sur toutes les lèvres des acteurs de l'industrie IT, il n'en demeure pas moins un concept encore flou, au sujet duquell nombre de questions restent sans réponse. C'est le sentiment que l'on a en parcourant cet article de nos confrères, où s'entrechoquent les deux camps des pour et contre l'informatique en nuage.
Le GreenIT veut aussi son Copenhague (Greenercomputing)
Réunie cette semaine à Barcelone, une délégation d'experts et d'industriels de l'Union Internationale des Télécoms (UIT) entend se rendre à Copenhague en décembre pour tenter de faire reconnaître par les légistateurs, le rôle qu'auront à jouer les technologies IT dans le vaste plan mondial de réduction de gaz à effet de serre. Si l'IT génère 2% des émissions de CO2, elle estime avoir un rôle clé à jouer dans la réduction des autres 98%. Histoire de convaincre que finalement, le GreenIT, ça veut bien dire quelque chose.