Le numérique au salon du livre / Le coût du bogue …
Le salon du livre.
Le salon du livre... numérique (L’expansion)
Le numérique se fraye un chemin au salon du livre de Paris. Mais pas pour s’imposer face au monde de l’édition papier. Au contraire, pour cohabiter et proposer des moyens adéquats, voire des opportunités de marché, aux petits éditeurs, incapables de supporter les coûts pharaoniques de fabrication et de distribution de l’édition traditionnelle.
Sortir un logiciel dépourvu de bogue coûte trop cher. C’est ainsi qu’on pourrait résumer ce billet de blog. Son auteur y explique que, dans l’économie du logiciel, le bogue fait partie intégrante du programme. Et ce parce que ôter tous les défauts de fabrication du code serait beaucoup trop cher pour l’éditeur qui répercuterait ces sur-coûts sur les clients. Au final, mieux vaut laisser quelque bogues mineurs, sans conséquences “vitales” sur le fonctionnement du programme... et sur l’image de marque de l’éditeur
De la verticalité des vidéos (igeneration)
Quel impact les tablettes, comme l’iPad, auront-elles sur les contenus multimedias et les vidéos, s’interrogent nos confrères, reprenant un billet de blog de Jesse Rosten. Un effet très évident : la verticalité des vidéos. Et c’est une petite révolution qui vient trancher avec notre mode de consommation de vidéo où le format est souvent proche de celui de la TV (en mode paysage). L’arrivée de tablettes devrait donc déclencher l’apparition de vidéo en mode portrait. Les cinéastes devront s’équiper pour l’occasion.
Le temps de la Révolution 2.0 a sonné (Corporate 2.0)
Un véritable coup de gueule en français sur l’inertie des DSI à prendre en compte les principes de l’entreprise dite 2.0, menée par Internet et ses services, ses réseaux sociaux et son modèle participatif. Mais pourquoi donc la modernisation de l’entreprise reste figée dans des principes sécuritaires, qui n’ont plus lieu d’être, semble s’insurger l’auteur de ce billet. D’autant que résister à la voie 2.0 ne fait plus sens, voire bride le potentiel d’une entreprise.
NoSQL, on se calme (Ted Dziuba)
Dans Cassandra, tout n’est pas rose, rappelle l’informaticien Ted Dziuba, en expliquant que la base de données associée au mouvement très tendance NoSQL ne répond pas à toutes les problématiques, même si elle préfigure le chemin que prendront les bases de données du futur. Pour l”heure, inutile de s’y risquer à moins d’avoir vérifié l’impact sur les processus métier. N’est pas Google ou Facebook qui veut.