Migration Gmail repoussée / Le pixel magique / Pepper : le piment du plug-in …
Yale retarde sa migration vers GmailGoogle a beau essayé de jongler avec les principes de la portabilité des données et les standards d’authentification, ses Apps sèment toujours le doute chez les utilisateurs.
Yale retarde sa migration vers Gmail
Google a beau essayé de jongler avec les principes de la portabilité des données et les standards d’authentification, ses Apps sèment toujours le doute chez les utilisateurs. Nos confrères relaie l’histoire de l’Université de Yale, qui après avoir pris la décision de basculer leur messagerie Open Source vers Gmail, fait finalement machine arrière. A la clé, une décision trop rapide et surtout liée à une condition que visiblement Google n’a pas pu respecter : lister les datacenters dans lesquels les données de l’Université seront stockées. Le projet semble aujourd’hui figé pour le sempiternel problème de régionalisation des données propre au Cloud et qui effraie encore bon nombre d’entreprises.
Le pixel magique (SeattePI)
Pouvoir personnaliser les interfaces propriétaires et fermées en agissant sur les simples pixels qu’elles occupent à l’écran. C’est le défi que doit relever le projet Prefab, sorti tout fraîchement des labos de l’Université de Washington (l’Etat où se trouve Seattle, patrie Microsoft) avec pour objectif d’apporter de nouveaux comportements aux interfaces utilisateurs.
Pepper : le prochain sel des plug-ins (Blog Chrome)
Si Flash sera intégré en natif dans Chrome le navigateur de Google, pour éviter le téléchargement a posteriori, la firme de Mountain View travaille sur un projet bien plus ambitieux, en collaboration avec Mozilla et Adobe : celui de refondre le modèle des désormais classiques plug-ins du navigateur. En clair, les 3 partenaires comptent revisiter l’ancienne API NPAPI pour l’aligner sur les standards d’usage autour des navigateurs. Cette future API (nom de code Pepper) devrait également être cross-plate-forme.
Le futur du GreenIT (CIO)
En matière de GreenIT, quel sera le futur des technologies et des bonnes pratiques, s’interrogent nos confrères, en listant quelques outils ou méthodes en développement, susceptibles de réduire la consommation énergétique. Comme accélérer le démarrage (aujourd’hui beaucoup trop long) des PC, un point qui empêche les utilisateurs d’éteindre leur machine. Ou encore éviter de stocker les mêmes fichiers à de multiples endroits. Fabriquer des transformateurs pour serveurs efficaces. Voire démocratiser les PC alimenter par l’énergie solaire.
Le Cloud contruit pour durer (Intelligent enterprise)
Et si le Cloud était finalement une killer app, écrit notre confrère. Si les entreprises sont frileuses à déposer leurs applications critiques dans le nuage, David Linthicun offre une porte de sortie au Cloud : la continuité d’activité. Le nuage se fraye une place de choix dans... l’éphémère en somme. Certes pas nouveau précise-t-il, mais assez peu présent dans les discours des commerciaux qui vendent du Cloud.