PHP et Ruby, idoles des jeunes / Google, Sun : même combat / Windows 7 : un roc …

Retraite à 60 ans : PHP et Ruby en profitent (Cnet)

La génération Y pro-Open source. Notre confrère constate un fort intérêt des jeunes générations de développeurs pour les langages dynamiques Open Source comme Ruby ou PHP au détriment des modèles plus anciens que sont .NET ou Java. Qui voient leur popularité progressivement s'éroder leur popularité. Avec la mise à la retraite de la vieille école, ces environnements phares ne vont-ils bientôt plus représenter qu’une faible part dans l’arsenal technologique des développeurs ? Notre confrère Matt Asay le pense.

De la proximité entre Google et Sun (Cnet)

Matt Asay, encore, pointe du doigt le fait que si Eric Schmidt et Jonathan Schwartz partagent la même vision, notamment en terme de mobilité, les résultats au final différent radicalement. Une différence de résultat expliquée notamment par l’approche de Sun qui, contrairement à Google, était embourbé avec ses activités de hardware.

Le roc Windows 7 (Newsfactor)

Et si l’optimisation et l’amélioration de la sécurité de Windows 7 étaient les meilleurs arguments pour migrer vers le nouvel OS de Redmond. C’est la problématique que pose cet article de nos confrères qui, en considérant la multiplication des rustines à appliquer sur les XP ou Vista - en provenance de Microsoft bien sûr, mais aussi Adobe ou Oracle - , préconise l’installation du dernier opus de Redmond. La fin des cauchemards des administrateurs IT ? Au MagIT, on a comme un doute.

Crise et Cloud ne sont pas liés (The Wisdom of Clouds - Blog Cnet)

L’adoption du Cloud n’a rien à voir avec la crise et ses réductions de budgets, explique James Urquhart (par ailleurs employé de Cisco) sur son blog. Si le Cloud est souvent associé à son faible coût, devant une solution attirante en temps de vaches maigres, c’est presque une coincidence. Car ce que considère avant tout les DSI dans le nuage, c’est l’agilité qu’il donne à l’IT, tant techniquement que - surtout - financièrement. En transférant les investissements nécessaires aux projets de l'IT classique vers les dépenses de fonctionnement.

Arriérés de maintenance : les trucs pour négocier avec les éditeurs (Blog Software Insider)

Pendant la crise, les entreprises, disposant notamment d'applications anciennes très stables, ont été tentées d'assurer leur maintenance logicielle elles-mêmes, ou de la confier à un tiers pour faire baisser les coûts. Mauvaise surprise : au premier projet, montée de version ou à l'occasion d'un bogue bloquant, les éditeurs réclament des arriérés, voire des pénalités. Ray Wang, analyste spécialiste de l'applicatif, donne des trucs pour ne pas céder aux diktats des fournisseurs.