Nyse sous l’eau / Les ateliers de la sueur chez Microsoft ….
NYSE sous l’eau (New York Times) Panique au Nyse.
NYSE sous l’eau (New York Times)
Panique au Nyse. La bourse de New York s’affole après une dégringolade des marchés boursiers. Une dégringolade dont les causes restent pour l'heure assez obscures. Toutes les têtes se tournent toutefois vers les systèmes informatiques de transaction boursière ultra-rapides, qui grâce à des indicateurs et des règles, automatisent les procédures de ventes et achats de titres. Mais quand tout le monde s’y met - ou qu’un algorithme s’emballe -, c’est la panique. Et la perte de milliards de dollars.
Les ateliers de la sueur de Microsoft (ContreInfo via GreenIT.fr)
Le site Contre Info relaie les résultats de l'étude d’une ONG sur les conditions de travail d’ouvriers chinois dans une usine de fabrication de produits informatiques, KYE. Une usine qui travaille pour Microsoft notamment. Le bilan est catastrophique. Extrait : “les étudiants recrutés par l’usine travaillent plus de 80 heures par semaine pour 37 centimes d’euro de l’heure (0,5 dollar). Les cadences sont telles (130 souris par heure) que des salariés épuisés dorment parfois à même leur poste de travail durant les pauses. Les ouvriers sont hébergés dans des dortoirs collectifs plus que sommaires et ne disposent pas de douches”.
Le retour du silicium dans la Valley (VentureBeat)
Nos confrères se livrent à un décryptage de l’engouement soudain des ténors de l'IT pour le silicium. Des entreprises comme Apple ou Google complètent leur arsenal en internalisant les composants. Pour nos confrères, cela constitue un retour à l’ère des groupes comme IBM, des groupes qui entendent être maîtres de toute la chaîne. Après un phénomène d'intégration horizontale, où chacun se distingue sur sa couche qu’elle soit logicielle, matérielle ou de service, assiste-t-on à un retour à l’intégration verticale. Pourquoi ? Parce que c’est de nouveau devenu un élément différenciant et ultra-concurrentiel.
Quand le nuage prend l’eau (Intelligent Enterprise)
“Trois choses qui pourraient tuer le Cloud”, titrent nos confrères. Selon David Linthicum, l’auteur de cet article, l’informatique en nuage demeure encore très fragile et risque de tomber de haut, voire de se noyer. Pourquoi ? Les coûteuses campagnes marketing survendent le Cloud qui ne remplira pas toutes les promesses chez les clients. Ces environnements ne sont également pas à l’abri d’un gros accident côté sécurité des données. Tellement gros qu’il entraînerait la paralysie du nuage. Dernier argument - et le plus intéressant- , le Cloud est trop cher, et pour une adoption massive, les prix doivent baisser.
Microsoft patche discrètement, une tempête dans un verre d’eau (Techworld)
Après le patch massif et mensuel, la rustine discrète. Selon un expert en sécurité relayé par notre confrère Techworld, Microsoft aurait comblé discrètement le mois dernier trois failles de sécurité, dont deux affectant des éléments critiques pour les entreprises sur le serveur de messagerie Exchange. Selon Ivan Arce, l’expert en question et directeur technique de Core Security Technologies, Microsoft a bien couvert le problème, mais a omis de signaler ce qu’il avait fait et de communiquer sur les bogues. Une faute dans la mesure où cette absence de communication – inhabituelle – empêcherait les décideurs de prendre la mesure de la faille et de décider d’appliquer le patch rapidement.