IE9 : IE6 killer ? / Un OS chez les opérateurs mobiles ? …

IE9 : IE6 killer ? (NetworkWorld)
Peu probable répondent nos confrères alors que sort aujourd’hui la bêta du dernier navigateur Microsoft. Le parc d’entreprises disposant d’IE 6 reste encore étendu et surtout certaines d’entre elle ont développé leurs applications métiers sur l’ancien navigateur de la marque. Impossible d’entamer une migration, trop couteuse et trop incertaine. Difficile pour Microsoft de se séparer de ses clients IE6, d’autant que le groupe a décidé de ne rendre disponible IE9 pour XP. Là où fonctionne aujourd’hui IE6, en partie. Décidément cet IE6,  un vieux chewing-gum.

Les opérateurs mobiles veulent leur OS (Le Figaro)
“Nous souhaitons reprendre les rênes de l’innovation”, explique le patron de France Télécom au Figaro, en parlant de la main mise de Google et d’Apple sur le marché des OS mobiles. Résultat, la résistance s’organise et quatre des plus gros opérateurs européennes ont décidé de proposer une forme d’alternative. Stéphane Richard revient également sur les suicides au sein du groupe et de la hausse de la TVA sur le triple-play

Piratage = baisse de revenus de l’Etat (Lemonde.fr)l
Notre confrère décortique les chiffres de la dernière étude BSA / IDC qui rapporte qu’une baisse du piratage informatique entraînerait à coup sûr une hausse de recette fiscale. L’article explique pour la méthode, et les montants avancés par l’étude, sont très discutables.

Des espions chez Google (Gawker)
Notre confrère raconte l’histoire de David Barksdale, un employé de Google, qui après s’être servi de sa position privilégiée à Mountain View pour espionner des comptes Gmail et GTalk, s’est vu remercié par son employeur, très discrètement, en secret. L’article de nos confrères s’interrogent bien sûr le niveau de sécurité des applications Google. D’autant que ce ne serait pas la première fuite de ce genre.

Descente au coeur du cloud (CIO)
Le cloud privé est en marché. Nos confrères publie un long papier sur des retours d’expérience d’entreprise ayant déjà testé la mise en place d’un cloud privé. Leur choix, leurs déboires et bien sûr leurs gains face à une technologie dont les plus gros déploiements sont attendus d’ici 3 ans.