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Sondage : l’arrivée de NKM à l’économie numérique peine à susciter l’optimisme

Est-ce l’effet de la conjoncture ? Quoiqu’il en soit, la récente nomination de Nathalie Kosciusko-Morizet à l’économie numérique laisse nos lecteurs, majoritairement sceptique en terme de retombées pour le secteur. Seul un petit pourcentage d’entre eux y trouve de quoi espérer des lendemains meilleurs. Cependant qu'une part assez faible voit l’annonce comme une mauvaise nouvelle.

Valéry Rieß-Marchive
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Publié le: 02 févr. 2009

L’arrivée de Nathalie Kosciusko-Morizet à l’économie numérique, à l’occasion du mini-remaniement de la mi-janvier dernier, ne génère que peu de passion : seuls 150 de nos lecteurs ont jugé le sujet d’une importance suffisante pour daigner répondre à notre sondage. Les résultats chiffrés du sondage reflètent à la perfection cet état d’esprit : à 52 %, nos sondés estiment que cette nomination ne changera rien. C’est donc là une franche majorité qui semble appréhender l’arrivée de NKM à l’économie numérique sans attente particulière. A moins qu’il ne s’agisse de lui donner du temps pour faire la démonstration de ses capacités et de ses ambitions.

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Pour un petit tiers des sondés, à 32 %, cette nomination est en revanche une bonne nouvelle. Mais 16 % des sondés estiment tout de même qu’il faut n’y voir que de mauvais augures. L’effet de la morosité ambiante ou d’un cynisme voilé à l’égard des politiques ?

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