L’analytique Big Data au service du marketing de Lady Gaga
Dans un entretien accordé au Financial Times, Troy Carter, fondateur et Pdg d’Atom Factory, et manager de Lady Gaga, explique comment il entend miser sur l’analytique Big Data après avoir misé largement sur Internet et les réseaux sociaux pour construire la carrière de la chanteuse.
Dans un entretien accordé au Financial Times, Troy Carter, fondateur et Pdg d’Atom Factory, et manager de Lady Gaga, explique comment il entend miser sur l’analytique Big Data après avoir misé largement sur Internet et les réseaux sociaux pour construire la carrière de la chanteuse. Toy Carter explique notamment avoir commencé à s’appuyer sur les services de Palintir, une société de la Silicon Valley spécialisée dans la gestion des données, pour traiter et analyser des données liées aux ventes de billets, au site Web de la star, aux ventes de produits dérivés, ou encore extraites des réseaux sociaux. Premier écueil : des données issues de Facebook modérément exploitables et qui l’ont poussé à créer un micro-réseau social dédié au million de fans les plus «hardcore» de Lady Gaga : «Facebook n’est pas conçu pour lier un artiste à ses fans.» Mais avec le micro-réseau social dédié, Troy Carter s’offre les moyens de gagner en visibilité et de supprimer un intermédiaire dans la relation avec les fans. Un effort qui a déjà conduit à étendre la tournée de Lady Gaga en Amérique du Sud, alors qu’elle n’y avait jamais chanté. Mais l’analyse des données collectées a montré qu’il y avait là une opportunité.