Crise / Ardoise / Entraide / Mobilité / Sagesse / Innovation

La crise est là (Techworld)

« Ré-évaluation. » C’est le mot-clé, selon un sondage auprès de 50 DSI réalisé fin septembre outre-Atlantique : 61 % d’entre eux ont commencé à ré-évaluer leurs budgets 2009. Plus de la moitié d’entre eux ont décidé de suspendre des projets non-critiques ; environ un quart a gelé les recrutements.

Qui paiera ? (Infoworld)

Le problème des crises, ce sont les faillites et, avec elles, les ardoises. Microsoft, notamment, cherchent ainsi à se faire régler sa part de l’ardoise laissée par Washington Mutual. En fait, pour l’éditeur, mais aussi Siemens ou encore TCS, la question est plutôt : « vous payez ou vous maintenez le contrat ? »

Mauvais joueur ? (Infoworld)

Intel s’inquiète. Le renoncement d’AMD à la production de processeurs x86, pour se concentrer sur leur conception, le préoccupe : des accords bilatéraux d’utilisation de propriété intellectuelle pourraient être violés par l’opération, notamment en ce qui concerne l’utilisation par AMD de l’architecture x86, une utilisation pour laquelle AMD est redevable à Intel.

Mobile, fatigué, mais heureux (InternetNews)

Selon un sondage réalisé par Kelton Research, outre Atlantique, pour Fiberlink Comunications, les travailleurs nomades sont attachés à leur mobilité. Et tant pis s’ils travaillent peut-être plus, au final : pour 84 % des sondés, ce qu’il y a bien dans la mobilité, c’est de pouvoir travailler pendant ses déplacements. Et cet avantage passe même avant la liberté de ne pas simplement aller au bureau.

Apprendre de ses erreurs (Computerworld)

Onze projets, onze ratages. Et les leçons que l’on peut en tirer. Que l’on peut, seulement, car selon Computerworld, le monde de l’informatique n’est semble-t-il pas prompt à apprendre de ses erreurs.

Merci, Apple (InternetNews)

Le constructeur Nokia et l’éditeur Access viennent de remercier ouvertement Apple pour avoir ouvert la voie avec l’iPhone, sinon même déminé le terrain. Ces remerciements cachent-ils un « maintenant, laissez-nous le marché » ?