Revue de presse : Réseaux malicieux / Ballmer / Sécurité / Noms de domaines / Humour

Dix réseaux concentrent la moitié des sites malicieux (The Register)

Selon une étude de l’organisation StopBadware, la moitié des sites Web diffusant des programmes malicieux s’intègrent dans seulement 10 réseaux. Six d’entre eux sont en Chine et comptent pour 41 % des sites Web malveillants. Avec 4 261 sites malicieux à son actif, sur ses blogs, Google fait figure de chevalier blanc en ne comptant que pour 2 % des sites malicieux du Net.

Ballmer convient à Microsoft, pour 10 ans de plus (ComputerWorld)

Alors que Bill Gates s’approche de la retraite, nos confrères s’interrogent : Steve Ballmer est-il bien la personne qu’il faut à Microsoft pour affronter les défis qui se présentent à l’éditeur, et cela pour encore dix ans ? Pour certains analystes, la réponse est non : Steve Ballmer néglige trop ce qui ne touche pas aux seules ventes des produits Microsoft et aurait même déjà laissé de l'avance à Google et Apple dans la course.

Les fuites de données n’épargnent personne, pas même les gouvernements (Techworld)

Ce pourrait n’être qu’une annonce supplémentaire de pertes de données ou de découverte de faille de sécurité dans un système d’information. Mais là, il s’agit rien moins du gouvernement britannique dont le système d’information aurait souffert de quelques 30 incidents de sécurité depuis le mois de novembre dernier.

Suffixes de noms domaines : la prime au .cher (Ecrans)

Ecrans revient sur l’annonce de l’Icann de l’ouverture prochaine des suffixes de noms de domaines à un large public. Et de souligner que large rimera avec fortuné du fait d’un prix de ticket d’entrée à six chiffres.

RFID, bientôt interdit d’hôpital ? (The Register)

Selon des chercheurs néerlandais, les dispositifs RFID, conçus pour assurer le suivi des équipements médicaux, pourrait interférer de manière létale avec les appareils d’assistance vitale.

L’humour, version technomaniaque (Blagues de Geek)

Il vient d’apparaître – enfin, depuis janvier dernier – et veut devenir le recueil de blagues de technomaniaques. Et il y a de quoi rire. Mais de quoi au juste ?