L’état du monde IT : LeMagIT, une proposition alternative
Cloud computing, technologie verte, sans contact, virtualisation, problèmes de sécurité du SI et…. LeMagIT. Parmi toutes les grandes tendances de l’année qui s’achève, une toute petite, à peine visible mais qui aura compté tout particulièrement pour nous et – nous l’espérons – aussi un peu pour vous : la naissance d’un journal en ligne alternatif pour les professionnels francophones des systèmes d’information.
Pour nous l’année 2008 aura d’abord été celle du lancement du MagIT. Dès le mois de janvier, au travers d’un blog, puis – surtout – à partir d’avril avec l’ouverture de la v1 du site et la création de la société qui l’édite (E-magine Médias), nous avons essayé d’ouvrir une voie pour un site d’informations destiné aux informaticiens professionnels. Une voie que nous avons souhaité alternative tant par les services proposés que par les sujets traités ou le ton retenu. Comme au premier jour, nous sommes toujours sept et toujours enthousiastes en dépit des difficultés du moment qui n’épargnent aucun secteur. Donc, bien sûr, pas le nôtre.
Et si nous pouvons déjà être très heureux de compter de nombreux abonnés à la newsletter L’EssentielIT et près de 100 000 visiteurs uniques chaque mois sur le site, nous ne souhaitons pas nous arrêter là. Le cœur de notre projet éditorial est toujours dans la sortie d’un outil d’information au service des informaticiens – avec des articles exclusifs et surtout plus détaillés –, mais surtout qui puissent être un espace d’appropriation et de production partagée de contenus.
Cette version à venir en début d'année intégrera des fonctions de publication, de réseau social, de partage d’information et d’animation de communauté de lecteurs. Outre l’approche fonctionnelle que nous espérons innovante par sa globalité – on y travaille dur –, la différence résidera également… dans le modèle économique proposé. Les développements, mais surtout la recherche d’informations, leur hiérarchisation, la mise en perspective et tout se qui fait un travail d’investigation ont un coût que la publicité seule – surtout dans un contexte qui promeut plutôt le travail de moine copiste que la recherche d’informations originales – ne peut couvrir. Un choix que nous avions fait dès l'origine du projet. Le futur du MagIT sera donc encore plus interactif, s’il est pour partie payant. A condition, bien sûr, que nous sachions mériter le renouvellement de votre confiance en 2009, ce qui reste notre combat quotidien.
La rédaction souhaite à tous ses lecteurs un bon réveillon. Et vous donne rendez-vous le 5 janvier.