Avec Enterprise Search 7.0, Sinequa peaufine son virage vers l'entreprise
Hier, lors d'une soirée à l'Echangeur, lieu vouée à l'innovation dans la relation client et propriété du groupe Laser, l'éditeur français Sinequa a officiellement lancé la version 7 de son moteur de recherche pour entreprises, Enterprise Search 7.0. Venu de la recherche sur les sites Web de presse et de e-commerce, Sinequa confirme ainsi son virage vers la recherche en entreprise.
Hier, lors d'une soirée à l'Echangeur, lieu vouée à l'innovation dans la relation client et propriété du groupe Laser, l'éditeur français Sinequa a officiellement lancé la version 7 de son moteur de recherche pour entreprises, Enterprise Search 7.0. Venu de la recherche sur les sites Web de presse et de e-commerce, Sinequa confirme ainsi son virage vers la recherche en entreprise.
Présenté par le Pdg de la société, Jean Ferré, comme un "bus permettant de relier des données non structurées, des données structurées et des données orientées vers les personnes, comme les annuaires et les outils collaboratifs", l'outil bénéficie de progrès en matière de simplicité de déploiement. Selon Sinequa, en plus de la prise en compte des droits d'accès des utilisateurs aux informations indexées, Enterprise Search 7.0 facilite l'ajout de sources. "Ce processus se déroule via les écrans de paramétrage de l'administrateur. La sélection d'un type de source change automatiquement les champs adaptés à la technologie cible. "Auparavant, ajouter une source était un vrai projet d'intégration", souligne Jean Ferré. Sinequa propose 70 connecteurs vers les principaux outils en entreprise (ERP, CRM, ECM, e-mail, SGBD, etc.).
Une couche de text mining
Le moteur de recherche de Sinequa est capable d'indexer plusieurs centaines de millions de documents via une architecture en grid, permettant une montée en charge graduelle. L'ensemble est administré depuis une seule console.
Mêlant documents et personnes concernées dans l'organisation, l'interface de résultats amène aussi quelques raffinements, comme l'utilisation du text mining (extraction de connaissances dans les textes) permettant, dans la démonstration effectuée hier soir par l'éditeur, de détecter les niveaux de langages des documents présentés.
Sur le créneau de la recherche en entreprise, la société (8,8 millions d'euros sur le dernier exercice clos le 31 mai, + 38 %) affronte un autre éditeur national, Exalead, ainsi que quelques mastodontes comme Google (avec son appliance dédiée), Microsoft (qui a racheté Fast) ou encore Autonomy.
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