RIM : recul de l’intérêt des professionnels
Selon Barron’s, l’analyste Simona Jankowki, de Goldman Sachs, a «réitéré son appel à vendre les actions RIM». Concrètement, celle-ci estime que la part des entreprises américaines envisageant de réduire leur usage des outils et services du canadien, éditeur des services Blackberry et constructeur des terminaux du même nom, est montée à 21 % au mois d’août, soit 4 points de plus qu’en octobre 2009. En outre, la part de celles prévoyant d’augmenter leur recours au Blackberry a reculé à 54 % contre 68 % à l’automne dernier.
Selon Barron’s, l’analyste Simona Jankowki, de Goldman Sachs, a «réitéré son appel à vendre les actions RIM». Concrètement, celle-ci estime que la part des entreprises américaines envisageant de réduire leur usage des outils et services du canadien, éditeur des services Blackberry et constructeur des terminaux du même nom, est montée à 21 % au mois d’août, soit 4 points de plus qu’en octobre 2009. En outre, la part de celles prévoyant d’augmenter leur recours au Blackberry a reculé à 54 % contre 68 % à l’automne dernier. Bref, pour l’analyste, pas de doute : Android et l’iPhone font de l’ombre à RIM. Que ce soit parce que les entreprises cherchent plus d’indépendance vis-à-vis de leurs fournisseurs ou parce qu’elles veulent permettre à leurs collaborateurs d’utiliser leurs propres terminaux.