L’Iran veut être représenté dans le Top500 des supercalculateurs
Le gouvernement iranien a affirmé avoir construit deux supercalculateurs dont les performances permettraient au pays d’entrer dans le classement du Top 500 des superordinateurs mondiaux.
Le gouvernement iranien a affirmé avoir construit deux supercalculateurs dont les performances permettraient au pays d’entrer dans le classement du Top 500 des superordinateurs mondiaux. Selon nos confrères de Networkworld, le gouvernement iranien aurait lui-même tenu à livrer cette information, avec probablement une démonstration de puissance à la clé, alors que le pays semble être encore dans le collimateur de Stuxnet, un ver aux multiples facettes qui a pris pour cible les installations nucléaires de l’Iran - et dont on ignore encore la véritable origine.
Quoiqu’il en soit, expliquent nos confrères, le plus puissant des supercalculateurs iranien reste bien loin derrière le n°1 du classement du Top500, le Chinois Tianhe-1A qui a détrôné l’Américain Jaguar en novembre dernier. Le système iranien serait doué d’une puissance de 89 teraflops alors que le Chinois affiche 2,57 PFlops au compteur.