En février, Chrome chute et Internet Explorer reprend du poil de la bête
Chez les navigateurs, les chouchous d’hier passent souvent à la trappe le mois ou la semaine suivante.
Chez les navigateurs, les chouchous d’hier passent souvent à la trappe le mois ou la semaine suivante. C’est la mésaventure qui arrive à Google Chrome lors du dernier baromètre de NetMarketShare. Alors que celui-ci en décembre dernier représentait près de 20 % des pages vues à partir d’un navigateur de bureau, il est passé en février à 18,90 %.
Pourquoi une telle variation ? Tout simplement parce que la méthodologie de NetMarketShare a changé et qu’elle ne prend plus en compte le prerendering (ou la mise en mémoire des pages même si l’utilisateur ne les regarde pas). Cette baisse est néanmoins une première dans l’histoire du navigateur de Google.
Plus étonnante est la résistance d’Internet Explorer qui après avoir été au plus bas en décembre 2011 (51, 87 % de part de marché) remonte à près de 53 % (52,94 %).