Résultats : Econocom compense la stagnation de son CA en France par l’international
Alors que le climat des affaires en France reste morose, Econocom enregistre une croissance au premier trimestre avec un chiffre d’affaires de 357 millions d’euros contre 350 millions d’euros au 1er trimestre 2011. Selon le communiqué du groupe, la croissance organique de +2% est jugée d’autant plus encourageante qu’elle intègre la poursuite du désengagement annoncé d’activités non stratégiques.
Alors que le climat des affaires en France reste morose, Econocom enregistre une croissance au premier trimestre avec un chiffre d’affaires de 357 millions d’euros contre 350 millions d’euros au 1er trimestre 2011. Selon le communiqué du groupe, la croissance organique de +2% est jugée d’autant plus encourageante qu’elle intègre la poursuite du désengagement annoncé d’activités non stratégiques.
La croissance du groupe sur le 1er trimestre est portée par les deux régions Europe du Nord et de l’Est et Europe du Sud. En revanche l’activité est globalement stable en France et au Benelux. Sur cette dernière région, c’est le rapprochement au cours du trimestre (par acquisition de 40 % des titres) avec la société belge Centix, spécialisée dans la virtualisation de serveurs et des postes de travail, qui a permis de soutenir l'activité grâce à la signature de plusieurs contrats.
La société, qui a changé de dimension depuis le rachat à la Société Générale des activités d’ECS, se positionne de plus en plus dans les services d’infrastructure en concurrence de certaines SSII. Pour l’année en cours, le groupe confirme ainsi ses objectifs annuels, soit un chiffre d’affaires en légère progression, un résultat opérationnel courant supérieur à 70 millions d’euros et un bénéfice net par action proche de 2 euros.