Etude : 7,5 heures d’indisponibilité des services de cloud public
7,5 : c’est le nombre moyen d’heures d’indisponibilité calculé chez 13 fournisseurs de services de cloud public dans le monde, nous indique le premier baromètre du groupe de travail International Working Group on Cloud Computing Resiliency, créé en mars 2012 par Telecom ParisTech et Paris 13 University - et soutenu notamment par Nextedi, éditeur Open Source de SlapOS et d’ERP5. Baptisé Availability Ranking of World Cloud Computing (ARWC), cet indicateur dont la méthode est qualifiée «d’imparfaite» par ses auteurs, analyse la couverture médiatique des pannes et autres coupures de services de cloud public mondiaux.
7,5 : c’est le nombre moyen d’heures d’indisponibilité calculé chez 13 fournisseurs de services de cloud public dans le monde, nous indique le premier baromètre du groupe de travail International Working Group on Cloud Computing Resiliency, créé en mars 2012 par Telecom ParisTech et Paris 13 University - et soutenu notamment par Nextedi, éditeur Open Source de SlapOS et d’ERP5. Baptisé Availability Ranking of World Cloud Computing (ARWC), cet indicateur dont la méthode est qualifiée «d’imparfaite» par ses auteurs, analyse la couverture médiatique des pannes et autres coupures de services de cloud public mondiaux. Les incidents non répercutés dans la presse ne sont donc pas compris, souligne Christophe Cérin, professeur à Paris 13, tout comme le nombre d’utilisateurs impactés par ces pannes.
Au total, précise ce rapport, les 13 fournisseurs de services de cloud public (cf illustration) identifiés dans ce rapport ont enregistré 568 heures d’arrêt de leurs services depuis 2007, soit 7,5 heures en moyenne par an pour un taux de disponibilité de 99,9%. Un taux que les équipes de chercheurs estiment «extrêmement éloigné des exigences de fiabilité attendues des systèmes critiques». Rapporté au coût moyen d’une panne standard, ces 568 heures d’interruptions ont couté 71,73 millions de dollars aux 13 services cloud impactés.