Résultats : premier exercice de crise pour les restes d’Arès
Premiers résultats annuels pour le nouvel Arès, qui rassemble les activités ayant survécu au démantèlement du groupe au cours de l’été 2008. Et déjà - alors que le but de la manœuvre était de se recentrer sur les activités les plus profitables et de les relancer – le chiffre d’affaires 2008/2009 est en berne à 90,2 millions d’euros, en recul de 9 % à périmètre comparable par rapport à l’exercice précédent.
Premiers résultats annuels pour le nouvel Arès, qui rassemble les activités ayant survécu au démantèlement du groupe au cours de l’été 2008. Et déjà - alors que le but de la manœuvre était de se recentrer sur les activités les plus profitables et de les relancer – le chiffre d’affaires 2008/2009 est en berne à 90,2 millions d’euros, en recul de 9 % à périmètre comparable par rapport à l’exercice précédent. Selon la direction de la SSII « le niveau d’activité de cette période (septembre 2008 – mars 2009, soit le second trimestre fiscal, ndlr) a été impacté par la mise en redressement judiciaire d’Ares SA et par la dégradation de la conjoncture économique. Ces deux éléments conjugués ont entraîné des reports d’investissements de la part de certains donneurs d’ordre, notamment dans les activités de ventes de solutions d’informatique technique (Pôle SIT) ».
Au niveau des différents segments restant, le pôle infogérance et tierce maintenance applicative (IT Services) a généré 68 % du chiffre d’affaires du groupe. Arès décrit cette activité comme « portées par un recours soutenu à l’externalisation dans les services informatiques. » Le pôle intégration (ISA, Intégration de Solutions Applicatives) a représenté 12 % de l’activité tandis que le pôle SIT donc, premier distributeur/intégrateur des solutions Autodesk en France, a contribué à hauteur de 20 % au chiffre d’affaires du groupe.