Les opposants à Open XML mettent en doute l'impartialité de l'ISO
Peu satisfaits d'avoir vu leurs appels rejetés face à la normalisation d'Open XML, les représentants du Brésil, du Vénézuela, de l'Inde, et de l'Afrique du Sud ont publié, amers, une déclaration officielle mettant en doute le caractère neutre et impartial de l'ISO. Ils y expliquent notamment ne plus avoir confiance en l'organisme de normalisation et, surtout, dans sa capacité à standardiser, détaché de toute considération commerciale.
Peu satisfaits d'avoir vu leurs appels rejetés face à la normalisation d'Open XML, les représentants du Brésil, du Vénézuela, de l'Inde, et de l'Afrique du Sud ont publié, amers, une déclaration officielle mettant en doute le caractère neutre et impartial de l'ISO. Ils y expliquent notamment ne plus avoir confiance en l'organisme de normalisation et, surtout, dans sa capacité à standardiser, détaché de toute considération commerciale.
« Alors que dans le passé, il avait été acquis qu'une norme ISO/IEC pouvait automatiquement être considérée comme utilisable par un gouvernement, ce statut est clairement révolu », a déclaré un représentant de l'Afrique du Sud, selon le quotidien Indian Express.
Au coeur du litige, le procédure de Fast-Track dont le déroulement n'aurait pas été suffisament transparent aux yeux des opposants à la standardisation d'Open XML.