Facebook s’endette de 100 M$ pour son infrastructure
Nouveau signe du trouble - pour ne pas dire des doutes – qui entoure les services de réseau social : Facebook – l’un des principaux – s’est tourné vers un fond privé (TriplePoint Capital) pour emprunter à des conditions non dévoilées de quoi améliorer son infrastructure.
Nouveau signe du trouble - pour ne pas dire des doutes – qui entoure les services de réseau social : Facebook – l’un des principaux – s’est tourné vers un fond privé (TriplePoint Capital) pour emprunter à des conditions non dévoilées de quoi améliorer son infrastructure. Enregistrant une croissance très forte de son audience, le site doit se payer quantité de nouveaux serveurs. Mais cette fois, pas d’ouverture du capital comme à l’automne dernier où Microsoft avait injecté 240 M$ pour 1,6% des parts, valorisant la star d’alors à 15 milliards. Peut-être par méfiance d’investisseurs attendant la validation d’un modèle économique incertain comme nous l’indiquions en février. Que neni selon les dirigeants de Facebook qui voient dans cet emprunt « un signe de maturité »(sic) du groupe.