L'électronique va adopter le bonus-malus écologique
L'électronique suit la voie tracée par les voitures, où les modèles les plus économes en énergie se voient poussés par une prime (de 200 à 5 000 euros) tandis que les véhicules énergivores sont handicapés par une taxe (de 200 à 2 600 euros).
L'électronique suit la voie tracée par les voitures, où les modèles les plus économes en énergie se voient poussés par une prime (de 200 à 5 000 euros) tandis que les véhicules énergivores sont handicapés par une taxe (de 200 à 2 600 euros). Dans une interview au quotidien Les Echos, Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, évoque pour 2009 l'idée d'un bonus-malus pour les produits électroniques. Sans préciser toutefois ni les appareils ciblés ni les modalités. "Si nous imposons un tel système sur les appareils électroniques, les consommateurs seront tentés de s'orienter rapidement vers les appareils moins énergivores", explique le ministre.
La secrétaire d'état à l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, avait déjà évoqué au début de l'année l'hypothèse d'une extension des principes du bonus-malus aux appareils électroniques.